églises lauzerte




L'église des Carmes
A la sortie du faubourg d'Auriac, elle garde le nom de l'ordre religieux du Carmel qui fonda ici un couvent au XIVe siècle. Elle a un chevet plat et une nef unique, reconstruite en 1673.
On y voit la Vierge remettre le rosaire à saint Simon Stock et à sainte Thérèse d'Avila ; et dans les niches latérales, le prophète Elie et saint Jean de la Croix. Elle possède un Retable.

L'église Saint-Barthélemy
Dans la ville haute, elle possède un clocher carré très sobre.
Elle présente deux façades des XIVe et XIXe siècles. Elle a été agrandie et voûtée d'ogives de 1591 à 1654 : abside à cinq pans, large nef unique à trois travées flanquée de six chapelles, clocher rectangulaire. A l'intérieur, le Christ en cuir est l’œuvre d'un prisonnier en échange de sa libération.
Elle possède un retable en bois doré consacré à la Vierge, véritable chef-d'œuvre de l'art baroque.

Le Monastère des capucins
Monastère de moines mendiants, fondé au XIIème siècle, il fut occupé par ces capucins jusqu'en 1789. S'étant fait chasser du monastère par les révolutionnaires français, ces derniers se dispersèrent à travers la France.

Le père Calixte, alors responsable du monastère, y aurait été assassiné à la hache par les révolutionnaires. Une légende relate que, depuis cette date, le Père Calixte, revient tous les soirs de Noël au douzième coup de minuit. Ayant entendu parler de cette tradition de revenant l'entrepreneur ayant réalisé la restauration du Monastère, désireux de vérifier si elle était fondée, vint se poster dans la cellule du Père Calixte le 24 décembre 1972 peu avant minuit, accompagné de sa fille. Installés en silence dans une obscurité complète, ils virent apparaitre juste après minuit, non pas le moine dans sa robe de bure, mais une lumière douce sur l'âtre de la cheminée, de la forme et de la dimension d'une assiette, éclairant l'ensemble de la pièce. Le phénomène ne dura que quelques secondes puis se reproduisit quelques instants plus tard avant de disparaitre définitivement.[4]

Le monastère a reçu le trophée de " La Tour D'or " en 1980, pour la restauration de ce lieu.

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